Jean XXIII : un pontife au souffle nouveau
 
Jean XXIII : un
pontife au souffle nouveau
Introduction
Jean XXIII, affectueusement surnommé « le bon pape Jean » par
le peuple, n’était pas destiné à marquer l’histoire de l’Église – du moins le
croyait-on lors de son élection surprise en 1958. À 77 ans, ce cardinal au
profil humble semblait voué à un pontificat de transition. Pourtant, en
l’espace de cinq années, il a insufflé à l’institution un élan d’ouverture et
de renouveau sans précédent. Originaire d’une famille paysanne du nord de
l’Italie, Jean XXIII a conservé toute sa vie une profonde simplicité et une
bienveillance naturelle, doublées d’une vision résolument tournée vers l’avenirrcf.fr. Comment ce pasteur
au sourire bonhomme a-t-il su réveiller l’esprit de l’Église et embrasser les
aspirations du monde moderne ? L’apologie qui suit explore les grandes actions
de ce pape hors du commun, sa spiritualité rayonnante, sa vision humaniste et
progressiste de l’Église, ainsi que son rôle décisif dans le concile
Vatican II. Sans verser dans l’hagiographie, nous interrogerons avec
admiration raisonnée l’héritage vivant qu’il nous a légué, et la manière dont
son exemple continue de questionner et d’inspirer l’Église d’aujourd’hui.
Un pape de proximité et de compassion
Dès le début de son pontificat, Jean XXIII adopte un style pastoral inédit
pour l’époque. Il est le premier pape, depuis le XIXèsiècle, à sortir
régulièrement des murs du Vatican pour aller à la rencontre du peuple de Romefr.wikipedia.org. Il prend
possession avec solennité de la cathédrale Saint-Jean de Latran, puis parcourt
les paroisses de son diocèse comme un simple évêque de terrainfr.wikipedia.org. Surtout,
il touche les cœurs lors de visites empreintes d’humanité : le soir de Noël
1958, quelques semaines à peine après son élection, il se rend au chevet
d’enfants malades dans un hôpital, et le 1er janvier 1959, il
franchit les portes d’une prison pour embrasser paternellement les détenusfr.wikipedia.org. Pour
s’adresser à ces exclus et souffrants, Jean XXIII abandonne même le « nous
de majesté » traditionnel des papes, préférant le ton simple et direct
du « je », langage du cœur compréhensible par tousfr.wikipedia.org. Ces
gestes d’une immense portée symbolique rompent avec l’image distante de la
papauté d’alors. De même, Jean XXIII balaie certaines traditions protocolaires
poussiéreuses : il refuse de prendre ses repas dans l’isolement imposé à ses
prédécesseurs et demande au journal du Vatican de modérer les formules
grandiloquentes dont on avait coutume d’entourer la personne du papefr.wikipedia.org. Par ces
changements concrets, il manifeste sa conception du pouvoir comme un service
dans la simplicité. Ce pape de l’ouverture et de la simplicitércf.fr entend montrer
le visage fraternel d’une Église « servante et pauvre », proche de
toutes les souffrances humaines.
Cette bienveillance active puise sa source dans la riche spiritualité
personnelle d’Angelo Roncalli (le nom civil de Jean XXIII). Tout au long de sa
vie, il tient un journal spirituel – publié sous le titre Journal d’une
âme – qui révèle une âme humble et abandonnée à Dieu. « Le Seigneur
m’a fait naître chez de pauvres gens et il a pensé à tout. Je l’ai laissé
faire » confie-t-il dans ses écritsfr.zenit.org, comme pour
souligner que toute son élévation vient d’en-haut et non de lui-même. Sa foi
robuste, nourrie dès l’enfance dans le milieu modeste et pieux de sa terre
bergamasque, lui donne à la fois patience et audacefr.zenit.org. En véritable
pasteur, il cherche constamment à parler au cœur de chaque personne de bonne
volonté. On lui doit ainsi une prière simple et célèbre – le « Décalogue
de la sérénité », aussi appelé « Rien que pour
aujourd’hui » – où il invite chacun à vivre au quotidien la
courtoisie, l’indulgence et la confiance joyeuse en Dieu. « Rien que pour
aujourd’hui, je ne critiquerai personne… Rien que pour aujourd’hui, je serai
heureux grâce à la certitude d’avoir été créé pour le bonheur », y lit-onrcf.fr. Pareilles paroles, empreintes
d’humilité souriante et de foi pratique, reflètent bien l’âme du bon
pape Jean. Son rayonnement spirituel, fait de douceur ferme et de charité
concrète, transparaissait dans chacun de ses gestes. Les témoins de l’époque
furent frappés de le voir conjuguer autorité et bonté, audace visionnaire et
prudence sage, paternité spirituelle et fraternité accessiblefr.zenit.org.
Instinctivement, même les plus éloignés de l’Église percevaient que cette
simplicité chaleureuse était le fruit d’une longue maturation intérieure, « le
splendide salaire de la prière et de la charité »fr.zenit.org. En redonnant
un visage humain et compatissant à la fonction pontificale, Jean XXIII a
incarné une spiritualité de la bonté en acte – non pour sa propre gloire, mais
pour mieux refléter l’amour du Christ au monde.
Une vision humaniste et progressiste de
l’Église
Si Jean XXIII demeurait doctrinalement attaché au dépôt traditionnel de la
foi, il n’était en rien prisonnier du passé. Bien au contraire, il souhaitait
ardemment que l’Église dialogue avec son époque et en comprenne les aspirations
légitimes. « Il Nous semble nécessaire de dire Notre complet désaccord avec ces
prophètes de malheur, qui annoncent toujours des catastrophes, comme si le
monde était près de sa fin » déclare-t-il avec force dans son discours
d’ouverture du concileeglise-niort.net. À
l’inquiétude stérile de ceux qui ne voyaient dans la modernité que décadence,
Jean XXIII oppose une lecture chrétienne plus optimiste de « la
succession des temps », lisant dans l’histoire les signes mystérieux de la
Providence orientant toute chose vers le bieneglise-niort.net. Ce pape
au regard d’espérance ne minimise pas les défis de son siècle (les tensions de
la guerre froide, la sécularisation galopante, les injustices sociales), mais
il refuse de s’enfermer dans la peur. Il invite l’Église à se faire compagnon
de route de l’humanité, pour porter au monde un message de foi, de charité
et d’espérance intelligible à tousrcf.fr.
Concrètement, Jean XXIII a posé des actes forts pour que l’Église
catholique s’ouvre aux valeurs humanistes et aux réalités de son temps. Dès son
premier message pontifical, il approuve explicitement les droits de
l’homme modernes, jugeant les persécutions religieuses incompatibles
avec ces acquis de la civilisationfr.wikipedia.org. Il met
fin à l’attitude d’affrontement stérile vis-à-vis des régimes communistes et
cherche le dialogue là où ses prédécesseurs s’étaient murés dans la condamnation
de principefr.wikipedia.org. En 1961,
lors de la construction du mur de Berlin, il adresse même un appel personnel au
dirigeant de l’URSS pour plaider la cause de la paix, geste impensable quelques
années plus tôtfr.wikipedia.org. Cet appel
secret contribue à détendre légèrement l’atmosphère de guerre froide, au point
de permettre la venue de prélats originaires du bloc de l’Est au concile
Vatican IIfr.wikipedia.org – une
première depuis des décennies de « rideau de fer ». Avec la même ouverture
d’esprit, Jean XXIII fonde en 1960 le Secrétariat pour l’unité des
chrétiens, prélude à une ère nouvelle de dialogue œcuménique avec
les autres confessions chrétiennesfr.wikipedia.org. Il
autorise également des Églises orientales catholiques (comme les Melkites) à
célébrer dans la langue vernaculaire plutôt qu’en latin, entérinant le principe
que la diversité des rites est une richesse dans l’unitéfr.wikipedia.org. Ce
faisant, il montre l’exemple d’une Église qui ne craint pas d’« ouvrir la
fenêtre » sur le mondevaticannews.va pour y
faire entrer un air frais, selon la célèbre image qu’il illustra par un geste
facétieux en réponse à un journaliste. Son objectif n’était pas de diluer la
foi, mais de la présenter avec un visage plus accueillant et plus
compréhensible par la conscience modernercf.fr. C’est dans cet
esprit qu’il promulgua, en avril 1963, l’encyclique Pacem in Terris –
son testament spirituel – adressée non seulement aux catholiques, mais « à
tous les hommes de bonne volonté » sans distinctionfr.wikipedia.org. Ce texte
magistral fait l’éloge de la démocratie, proclame que la guerre ne saurait être
un instrument de justice, et exhorte les nations à se laisser guider par
la loi morale plutôt que la loi du plus fort, dans un esprit
de solidarité, de justice sociale et de libertéfr.wikipedia.org. Jamais
auparavant un pape n’avait parlé avec une telle clarté des droits de la
personne humaine et d’une fraternité universelle visant le bien commun. Jean
XXIII, en humaniste chrétien, a ainsi posé les jalons d’une Église en dialogue
avec la communauté internationale, ardente promotrice de la paix
mondiale. Son engagement lui vaudra d’ailleurs d’être salué bien au-delà
des cercles catholiques : en mai 1963, quelques semaines avant sa mort, il
reçoit le prestigieux prix Balzan pour la paix, hommage de la communauté
internationale à ses efforts de médiation et d’apaisementfr.wikipedia.org.
Vatican II : l’aggiornamento audacieux de
l’Église
Le geste le plus mémorable – et sans doute le plus révolutionnaire – de
Jean XXIII reste la convocation du concile Vatican II, qu’il
annonce publiquement le 25 janvier 1959, trois mois à peine après son électionfr.wikipedia.org. L’idée de
réunir ainsi tous les évêques du monde, près d’un siècle après Vatican I,
prend tout le monde de court, y compris dans son entourage. On imagine la scène
: alors que la Curie romaine demeure frileuse et craintive devant la
perspective de réformes, le « pape de transition » prend de vitesse
les sceptiques et propose rien moins qu’une vaste mise à jour (aggiornamento)
de l’Église catholique. Jean XXIII a mûri ce projet dans la prière et fort de
sa propre expérience : ancien délégué apostolique en Bulgarie, en Turquie et en
Grèce, il a côtoyé l’orthodoxie et compris l’importance du dialogue collégial
dans l’Églisevaticannews.vavaticannews.va. Devenu
pape, il discerne que l’institution a besoin d’un nouvel élan pour affronter
les « erreurs, besoins et possibilités de notre époque »fr.wikipedia.org. Il veut
un concile résolument pastoral, destiné à ce que le message immuable de
l’Évangile soit présenté « d’une façon plus efficace » aux
hommes de son tempsfr.wikipedia.org. Le 11
octobre 1962, l’ouverture solennelle de Vatican II se déroule dans la
basilique Saint-Pierre en présence de plus de 2 500 évêques du monde entier.
Jean XXIII lui-même prononce ce jour-là un discours d’une portée historique,
rédigé de sa main pour l’essentielfr.wikipedia.org. Avec son
style inimitable mêlant gravité doctrinale et élan d’espoir, il y exhorte
l’Église à ne pas brider l’action de l’Esprit Saint. Le soir même, dans une
allocution improvisée restée fameuse – le « discours de la
lune », adressé à la foule rassemblée place Saint-Pierre – il laisse
parler son cœur de pasteur. « Que nos sentiments soient toujours comme nous les
exprimons ce soir… foi, espérance, charité… et tous ensemble, aidons-nous, dans
la sainte paix de Dieu, à faire le bien », lance-t-il d’une voix émue depuis le
balcon papalfr.wikipedia.org. Cette
chaude humanité, conjuguée au courage de bousculer les inerties, donne le ton
du concile naissant.
Cependant, rien n’était joué d’avance une fois Vatican II lancé. Jean
XXIII doit déployer une habileté toute évangélique pour guider l’assemblée
conciliaire sans l’enfermer. Au départ, la Curie – restée très conservatrice –
avait préparé des schémas de travail timorés, vite rejetés par la majorité des
Pères conciliaires dès les premières sessionsfr.wikipedia.org. Plutôt
que de brusquer les débats, Jean XXIII fait confiance au souffle de l’Esprit et
aux initiatives des évêques du monde entier. Il encourage les voix
réformatrices comme celles des cardinaux Montini (le futur Paul VI) et
Suenens, qui appellent à recentrer les travaux sur une double
question : « Église, que dis-tu de toi-même ? Église,
que dis-tu de ton rapport au monde ? »vaticannews.va. Le pape
donne ainsi deux orientations claires au Concile : une orientation pastorale,
pour approfondir la nature de l’Église elle-même (ad intra), et une
orientation œcuménique et missionnaire, pour repenser le dialogue
avec les autres chrétiens et l’ensemble de la famille humaine (ad extra)vaticannews.va. Sur ce
dernier point, il intervient personnellement afin que le Concile adopte une
attitude ouverte : lorsque certains s’opposent à aborder la question de la
liberté religieuse ou du rapprochement avec les autres confessions, Jean XXIII
n’hésite pas à faire retirer un texte jugé trop frileux et à le faire
retravailler par une commission incluant son nouveau Secrétariat pour l’unitévaticannews.vavaticannews.va. Par son
soutien déterminé, il impose « sa ligne » œcuménique qui finira par
triompher dans les documents conclusifs du Concilevaticannews.va.
Sous l’impulsion de Jean XXIII, Vatican II aborde des sujets longtemps
restés tabous. Il tient particulièrement à une réconciliation avec le
peuple juif : grâce à lui, le Concile entreprend une réflexion inédite
sur les relations entre l’Église et le judaïsmefr.wikipedia.org. La
déclaration Nostra Ætate, issue de ces travaux, affirmera
clairement que les Juifs d’hier et d’aujourd’hui ne sauraient être tenus pour
collectivement responsables de la mort du Christ, dégageant définitivement
l’Église de siècles d’antijudaïsmefr.wikipedia.org. Plus largement,
Jean XXIII encourage le Concile à promouvoir un esprit de tolérance
et de dialogue interreligieuxfr.wikipedia.org,
préfigurant l’ouverture aux autres religions qui deviendra un marqueur du
catholicisme post-conciliaire. Il veille aussi à ce que l’assemblée reflète
l’universalité de l’Église : des observateurs non catholiques (orthodoxes,
anglicans, protestants) sont invités pour la première fois à assister aux
débats conciliaires, et les patriarches des Églises orientales catholiques,
relégués au second rang lors de l’ouverture, sont finalement placés d’office
aux côtés du pape en signe de respect collégialfr.wikipedia.org. Ces
gestes forts illustrent la vision d’un Jean XXIII ardent artisan de l’unité
chrétienne et de la compréhension mutuelle entre les peuples.
Hélas, le bon pape Jean ne verra pas l’achèvement de
l’œuvre qu’il a initiée. Dès 1962, la maladie vient frapper son corps robuste –
un cancer de l’estomac, aggravé d’une hémorragie, l’emporte en quelques moisfr.wikipedia.orgfr.wikipedia.org. Conscient
de sa fin prochaine, Jean XXIII s’assure néanmoins que le Concile poursuivra
son cours sans dévier de sa trajectoire. Il nomme de nouveaux cardinaux issus
des jeunes Églises d’Afrique, d’Asie ou d’Océanie, marquant ainsi sa volonté
d’un catholicisme véritablement universelen.wikipedia.org. Jusqu’au
bout, il demeure fidèle à sa devise pastorale : « Obéissance et
Paix ». Lors de la crise des missiles de Cuba à l’automne 1962, en
pleine aggravation de son cancer, il trouve encore la force de lancer un
vibrant appel radiophonique aux « grandes puissances » pour conjurer
le spectre de la guerre nucléairefr.wikipedia.org. Ce sens
aigu de la responsabilité morale sur la scène mondiale est peut-être l’un des
traits les plus marquants de son pontificat. Épuisé, Jean XXIII s’éteint
le 3 juin 1963, au terme d’une longue agonie suivie avec émotion par le monde
entierfr.wikipedia.org. Son
successeur Paul VI mènera à son terme le concile Vatican II, dont les
fruits transformeront durablement l’Église catholique.
Héritage et ouverture vers l’avenir
Plus de soixante ans après Vatican II, l’héritage de Jean XXIII
demeure intensément présent et continue de porter du fruit. Loin d’être figée
dans le passé, la figure de ce pape suscite toujours un élan vers l’avenir. Il
a laissé dans les mémoires l’image d’une profonde humanité et d’une lumineuse
simplicitéfr.wikipedia.org. Son
intuition du Concile comme moyen de « mettre à jour » l’Église est
reconnue comme l’un des tournants majeurs de l’histoire ecclésiale du XXèsièclefr.wikipedia.org. Jean
XXIII a été béatifié en l’an 2000, puis canonisé en 2014 – signe que l’Église
elle-même a discerné en lui un modèle de sainteté contemporaine, faite de
bonté, de courage réformateur et de confiance en Dieu. Pour autant, on aurait
tort de ne voir en son apologie qu’un portrait figé d’« icône du passé ». Au
contraire, sa vie et son œuvre restent une invitation pressante au
renouveau permanent. Son humanisme évangélique, sa « docilité à
l’Esprit Saint » saluée par le pape Françoisrcf.fr, sa volonté de
parler au monde avec franchise et miséricorde – tout cela conserve une
résonance pour l’Église du XXIèsiècle. Dans un monde en quête de sens, où
resurgissent de nouvelles divisions et de nouvelles « prophéties de malheur »,
l’esprit de Jean XXIII pousse les croyants à bâtir des ponts plutôt que des
murs, à demeurer fidèles à l’essentiel de l’Évangile tout en inventant des
langages compréhensibles pour chaque génération.
En définitive, Jean XXIII apparaît comme un passeur entre
la tradition et la modernité, un pontife au sens étymologique du terme –
c’est-à-dire un « faiseur de ponts » reliant l’Église aux âmes de son
temps. Son pontificat bref mais intense a ouvert une brèche d’espérance par
laquelle le souffle de l’Esprit a pu s’engouffrer. Sans être un intellectuel de
haut vol ni un stratège calculateur, il a eu la sagesse des cœurs simples et la
clairvoyance des grands saints. Son témoignage nous pose aujourd’hui encore des
questions vitales : Avons-nous gardé intacte la flamme de
Vatican II ? Savons-nous, à son exemple, écouter le monde sans complexe ni
crainte pour y discerner les germes de vérité ? Osons-nous une Église pauvre
avec et pour les pauvres, accueillante pour tous, artisan de paix et de justice
? Ce ton questionneur, Jean XXIII l’avait adopté lui-même, convaincu
que l’Église ne doit jamais cesser de se réformer sous le regard de Dieu. Son
héritage n’est pas un monument du passé, mais une dynamique vivante offerte
à ceux qui veulent construire un avenir réconcilié. À la suite du « bon
pape Jean », l’Église est invitée à avancer avec confiance, animée par ce
même souffle d’amour et de progrès qui inspira le pontife du concile
Vatican IIrcf.fr. En rendant hommage
à Jean XXIII, c’est en réalité un chemin d’Évangile authentique et d’humanisme
fervent que nous célébrons – un chemin qu’il nous revient, aujourd’hui encore,
de faire fructifier.
Sources : Jean XXIII – Wikipédiafr.wikipedia.orgfr.wikipedia.orgfr.wikipedia.orgfr.wikipedia.org; Vatican
Newsvaticannews.vavaticannews.va; RCFrcf.frrcf.fr; Zenitfr.zenit.orgfr.zenit.org; Discours
d’ouverture de Vatican IIeglise-niort.net; Journal
d’une âme de Jean XXIIIfr.zenit.org.

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